• RA... et plus encore !

    Parce que tous les admiRAteurs et admiRAtrices de Richard Armitage sont les bienvenu(e)s, nous sommes RAvies de vous pARler de MARie qui nous a envoyé ce texte mystARieux...

    Qui peut faire mieux ? On attend vos pRApositions !!

     

    Richard Armitage par Robert AscroftCe matin en écoutant la radio sur ma vieille radiocassette que j’avais eu au rabais, un journaliste rabâchait des informations d’une façon raciste. Personne ne pouvait donc lui rabattre le caquet à ce rabat-joie ? J’éteignais le radioréveil et allais prendre une rapide douche pour me réveiller, étant un peu au radar puis m’enduisais de crème raffermissante. Un dernier raccord maquillage histoire de se ravaler la façade et je m’habillais d’un chemisier ravissant bien que rapiécé et d’un pantalon que j’avais raccommodé mais qui ferait l’affaire. 

    Arrivée dans ma voiture toute rabougrie à laquelle était attelée une caravane rafistolée, je mettais un peu le radiateur pour ne pas avoir froid et démarrais.

    Je pris un raccourci et arrivais dans mon magasin CORA . Et là, dans le rayon fruits et légumes près des betteraves, je le vis, raffiné dans sa tenue de tennis, si racé avec sa raquette à la main ! C’était bien lui : Richard en personne ! Richard était devant moi, parlant au téléphone. Il raccrocha et d’une voix radoucie me demanda si je pouvais le renseigner sur le prix des radis… Je me sentie soudain comme sur un radeau en pleine mer et me mis à radoter et à raconter n’importe quoi, incapable de ramener mon cerveau à la raison. De ma bouche sortait une rafale de mots incompréhensibles que je n’arrivais pas à ravaler ! Je râlais et enrageais d’être raide comme un piquet devant lui alors que j’aurais dû ramper vers lui ! Un raz de marée sanguin coulait dans mes veines et je me sentais soudain raplapla ! Il me sourit, prenant un air rassurant. Je ne pouvais rater telle occasion et lui répondis « qu’importe le prix vous n’êtes sûrement pas radin ! ». Il me regarda comme me passant aux rayons X. J’en rougissais, ramenant une mèche de cheveux derrière mon oreille. Il était si beau que j’avais envie d’arracher voracement ses vêtements comme rarement cela m’étais arrivé ! Je ne voulais pas passer pour une racaille et le renseignais sur le prix des radis qu’il voulait acheter. Il me demanda alors de le raccompagner jusqu’à la caisse centrale ce que je fis, ravie ! Mais arrivée là, je trébuchais sur un rat mort trainant dans le magasin et m’écrasais radicalement dans ses bras musclés. Il me ramassa et pas du tout rancunier me donna son numéro de téléphone sur un papier racorni et y nota un rancard pour aller au restaurant et faire une randonnée !

     

    Imaginez-moi, toute ragaillardie et si je vous raconte cette histoire invraisemblable c’est juste pour que vous comptiez les « ra » contenus dans ce texte !

    Photo Robert Ascroft, merci à RAnet

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  • Commentaires

    1
    Kate Bloom
    Dimanche 9 Avril 2017 à 19:30

    Génial !!!

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